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4 astuces pour vaincre votre peur de parler en public


Gorge nouée, voix tremblante, bouche sèche… Les facteurs exprimant une peur de parler en public se manifestent rapidement, de même que le stress, qui peuvent rapidement devenir bloquants.

De fait, parler en public peut vite devenir angoissant, pour la personne en question comme pour le public, qui ne sait pas toujours comment réagir.

Découvrez, dans cet article, nos quelques astuces pour ne plus avoir peur de parler en public !

 

La glossophobie, qu’est-ce que c’est ?

Peu importe le niveau de responsabilités ou la position dans une entreprise, parler en public, ça reste toujours une grande étape, surtout la première fois !

Mais pour certains, au-delà de l’étape, il s’agit d’une réelle épreuve, voire même d’une source d’angoisse.

Cette appréhension, qui génère parfois la paralysie, bloque aussi bien les jeunes stagiaires, ébahis devant leur nouvel auditoire, que les grands leaders, impressionnés face à tant de monde.

 

Les principaux risques d’une prise de parole non maîtrisée sur le plan émotionnel sont, au-delà de la gêne pour vous-même, un discours confus, des paroles qui dérapent.

C’est ce que l’on appelle la glossophobie, autrement dit, la peur de parler en public devant un groupe plus ou moins important.

Cela peut aller de l’équipe projet restreinte à l’assemblée générale de l’entreprise… Et même jusqu’à la peur de parler devant ses amis proches.

 

Un discours, une intervention, ça nécessite tout de même un minimum de préparation.

Mais saviez-vous que 75% des professionnels ont une peur, plus ou moins prononcée, d’évoquer ce discours en public ?

Voilà de quoi vous rassurer en vous disant que vous n’êtes pas seul, pour débuter votre progression pas à pas !

 

 

 

Imaginez votre progression par étapes.

Partez d’un constat très simple : personne n’aime parler en public.

C’est simplement que chacun arrive à gérer son stress ou sa manière de parler. Franck Nicolas lui-même l’avoue : prendre la parole devant tout le monde n’a jamais été inné, il a fallu qu’il se batte contre lui-même pour y parvenir.

 

Cet effort permanent, il faudra le faire, d’autant plus que la glossophobie ne se soigne pas, et on ne connaît pas toujours les facteurs déclencheurs.

Le plus important, c’est donc de voir cette peur comme quelque chose d’irrationnel (personne ne va vous sauter dessus pendant votre discours !) afin d’apprendre à la maîtriser.

 

Rappelez-vous qu’il existe plusieurs types de discours, depuis la présentation de projets en 5 min auprès de vos collaborateurs, en passant par la présentation longue d’une trentaine de minutes face à l’ensemble du service, jusqu’au colloque d’une heure.

 

Le colloque, d’accord, ce n’est pas pour tout de suite. Mais pourquoi ne pas commencer par la petite présentation ?

Allez-y en douceur : commencez par demander la parole en réunion ou à intervenir face à l’un de vos collègues, avant de démarrer de suite dans le grand bain !

 

La communication non verbale (tremblements, gestes répétés, tics de langage) a aussi toute son importance et il faudra travailler dessus par étapes également :

  • Entraînez-vous devant votre miroir pour repérer vos petites imperfections
  • Filmez-vous, pour continuer cet apprentissage
  • Parlez devant des personnes de confiance, qui sauront vous faire les bonnes remarques

 

Maintenant, passons aux astuces pour vaincre votre peur de parler en public !

 

4 astuces pour vaincre votre peur de parler en public.

 

Si prendre la parole, ou prendre le micro devant quelques personnes vous terrifie, alors vous devez suivre ces quelques astuces pour être plus serein face à cet exercice de prose.

Trouvez des points d’appui dans le discours

Que ce soit dans la structure, les temps de pause ou de respiration. Plus on va vite plus on a tendance à vouloir accélérer et parfois, le cœur s’emballe aussi. Mieux vaut donc savoir sur quoi vous pouvez vous reposer.

 

BRAVO masterclass Franck Nicolas GLob

 

Apprenez par cœur le début du discours.

Cela est utile pour « lancer la machine », surtout si vous avez bonne mémoire.

 

Diversifiez vos entraînements.

Que ce soit en pratiquant l’auto-observation (via de petites vidéos) ou bien auprès de votre famille, entraînez-vous au quotidien sur des discours de plus en plus longs.

 

Dédramatisez grâce à des mises en situation concrètes.

Obligez-vous à tenir des discours dès lors que vous en avez envie, auprès du postier, de votre fromager ou même, au gym. Dites ce que vous pensez, apprenez à porter votre voix, en vous mettant dans des situations typiques d’expression.

 

Augmentez votre confiance en vous et franchissez le pas !

 

 

 

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Laissez le pessimisme de côté : il n’a pas sa place au cœur d’un discours.

Il vaut mieux porter votre attention sur l’optimiste, l’envie d’avancer et de bien faire, sans viser la perfection.

C’est pourquoi il est important, selon le docteur Kurosawa, de déterminer et prendre conscience de ses zones de tensions, afin de mieux agir en conséquence.

Par exemple, si vous êtes amateur de perfectionnisme, c’est peut-être cette volonté de perfection qui vous bloque dans la réalisation d’une prose.

Peut-être avez-vous eu un épisode malheureux dans le passé et que cela rappelle de mauvais souvenirs, ou bien, ou bien, ou bien… Stop !

Finies les excuses : grâce à des leaders inspirants comme Franck Nicolas et ses solutions de prise de confiance en soi, il ne sera plus question de douter de vous et de vos capacités.

Vous êtes forts, vous êtes audacieux, vous allez conquérir votre auditoire !

N’oubliez pas que, pour ce faire, votre confiance doit être morale, mais aussi physique : soyez bien dans vos vêtements, et donc dans votre discours.

Pour terminer sur une note d’humour : qui se sent bien dans ses baskets, est clair dans sa tête !

Vous aviez peur de parler en public et voyiez le moindre évènement public comme une étape insurmontable ? Maintenant, vous savez comment relativiser, gérer votre respiration et exprimer votre discours.

La prise de parole, puis ensuite le débat en public, sont des activités importantes, notamment dans le monde professionnel : il serait bien dommage de passer à côté de responsabilités, simplement parce que vous hésitez sur votre discours…

Pratiquez, allez de l’avant et vous vaincrez cette glossophobie !