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Mettez fin au perfectionnisme !


Vous détestez les articles mal rédigés, avec des virgules mal placées, ou bien ne supportez pas qu’un projet soit finalisé sans votre dernière touche.

Peut-être que vous êtes un peu perfectionniste dans l’âme, n’est-ce pas ?

S’il peut s’agir, en bien des circonstances professionnelles, d’une grande qualité, c’est aussi un défaut dans bien d’autres.

Alors, comment lutter contre le perfectionnisme ?

Quels sont vos armes, vos outils pour apprendre à vous contrôler ?

Réponses dans cet article !

1. 7 signes qui montrent que vous êtes perfectionniste.

Les perfectionnistes sont, bien étonnamment, les derniers à reconnaître qu’ils en sont.

Pourquoi ?

Parce qu’ils sont justement perfectionnistes et qu’ils ne sont pas faillibles, bien sûr !

Mais qu’est-ce qu’un perfectionniste ? En quoi est-ce difficile à vivre ?

Le perfectionnisme est souvent associé à une forme poussée d’investissement professionnel.

Le perfectionniste est toujours au travail, il cherche toujours à s’améliorer, il guette la moindre erreur, il est à l’affût des nouvelles opportunités…

Mais cela se retrouve aussi dans la vie personnelle : être perfectionniste, c’est vouloir une forme de contrôle permanent sur sa vie, son déroulé et les choses qui l’entourent.

Pas de bol : vous ne maîtrisez qu’une infime partie de votre vie !

Alors, pourquoi s’entêter ?

Si vous vous identifiez aux situations ou aux descriptions suivantes, alors il y a des chances pour que vous soyez, vous aussi, perfectionniste…

Alors, quel est votre niveau de perfectionnisme ?

  1. La planification est une seconde nature chez vous (to do listes, plannings mis à jour, comparaisons permanentes des offres sur le marché), même pour les activités de détente
  2. Vous détestez le désordre que vous n’avez pas provoqué, surtout quand c’est chez vous
  3. Vous avez toujours un plan B, voire C
  4. Le mot « échec » ne fait pas partie de votre vocabulaire
  5. Vous préférez le terme de personne « exigeante » et non de « perfectionniste »
  6. Un projet qui a du retard ou qui ne se passe pas comme prévu, cela est forcément dû à une cause extérieure
  7. Vous aimez partager votre expérience (ou plutôt, vos succès) avec vos collaborateurs

Alors, quel verdict ?

On vous explique comment avancer malgré votre degré de perfectionnisme…

2. Pourquoi faut-il lâcher un peu de lest ?

Le perfectionnisme est synonyme de contrôle, ce qui peut virer à l’obsession ou aux dérives.

C’est vouloir tout maîtriser, même ce qui ne peut pas l’être.

Par exemple, vous avez ces papiers qui doivent être signés par un client avant la fin de semaine, pour finaliser un dossier.

Mais à part fixer une deadline à ce client, lui faire des rappels, vous ne pouvez pas signer à sa place.

Nul besoin de vous énerver dans ce cas : réadaptez votre programme et anticipez au maximum, et ne subissez pas votre perfectionnisme.

Être perfectionniste, c’est aussi se trouver dans un esprit de compétition, pour le titre de « meilleur », « meilleur collaborateur », « meilleure petite amie », l’idée étant de surpasser les autres.

Relativement malsaine, cette attitude irrite aussi votre entourage.

Le principal risque à être perfectionniste, c’est de confiner sa confiance en soi en se comparant aux autres.

Ainsi, le risque est de ressentir une peur d’aller de l’avant (comment pourrais-je faire mieux que ce collègue génial ?), ou même, d’être paralysé dans l’action (si je fais, je le ferai certainement mal donc pourquoi le faire ?).

Pour soigner ce rapport aux autres et à vous-même dans la confiance, la clé, c’est véritablement l’acceptation : accepter que d’autres puissent commettre des erreurs, que vous le pouvez aussi, qu’un projet est faillible et que l’humain n’est pas né parfait.

Acceptez que l’erreur puisse faire partie de la réussite !

Comme le disait Winston Churchill : « le succès, c’est d’aller d’échec en échec sans jamais perdre son enthousiasme ».

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3. Osez : lancez-vous !

En parlant d’enthousiasme, sachez que le perfectionnisme est quelque chose qui se vit.

Par conséquent, vous pouvez choisir :

  • De subir votre perfectionnisme, ce qui engendrera nécessairement des frustrations
  • De faire des concessions sur votre perfectionnisme, pour rendre vos rapports plus faciles avec votre entourage
  • D’accepter votre perfectionnisme sans entraver votre action au quotidien

En effet, agir est synonyme d’expérience : c’est en agissant que vous pourrez aussi entretenir un perfectionnisme modéré et rationnel.

Par exemple, c’est en testant une idée pour un client, même si elle est nouvelle, que vous saurez si cela peut convenir : vous en tirerez des leçons utiles pour votre carrière !

Ainsi, voyez chaque moment de doute où votre perfectionnisme ressort comme une occasion de vous lancer, pour en tirer le meilleur !

4. La perfection n’existe pas.

Être perfectionniste, c’est laisser son envie (voire, son obsession) pour le détail prendre le dessus, ce qui entrave non seulement votre capacité de passage à l’action personnelle, mais aussi vos relations avec votre entourage.

Pourtant, personne n’est parfait : le perfectionnisme n’est qu’une façade.

Ne vous focalisez plus sur ce que les gens vont penser de ce que vous avez fait, mais plutôt de ce que cela peut vous apporter, à vous.

Il est beaucoup plus sain d’envisager votre rapport aux autres avec un lien de confiance.

Et pour le construire, il faut d’abord avoir confiance en vous : pour cela, trouvez le bon équilibre entre vos forces et vos faiblesses.

Faites de votre pointillisme et votre ponctualité des atouts pour votre carrière, sans affecter votre entourage professionnel direct, ni même votre famille.

Et puis, n’oubliez pas que le travail n’est pas tout : apprenez à vous détendre, à vous octroyer des moments rien qu’à vous, à prendre soin de votre moral.

De la sorte, vous serez mieux armés pour lutter contre le perfectionnisme irrationnel qui entrave vos actions au quotidien !