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La fatigue, est-ce dans la tête ?


C’est quelque chose que l’on entend souvent, notamment au moment des inter-saisons : « je me sens très fatiguée, ça ne va pas trop ».

Et pour cause : la fatigue est source de nombreux maux.

Conséquence directe d’un manque de sommeil ou d’un surmenage, elle est cependant parfois liée à un ressenti, à un état d’esprit.

Et si la fatigue, c’était uniquement dans la tête ? Explications.

La fatigue n’est pas forcément due à un manque de sommeil…

La fatigue, un mal aux multiples causes

Il est relativement rare de se déclarer en pleine forme plusieurs jours d’affilée, la fatigue étant généralement plus présente et ressentie au quotidien.

Pour quelle raison ? Parce que le corps, comme l’esprit, a besoin de beaucoup de repos et que les rythmes de vie ne sont pas nécessairement adaptés pour cela.

La fatigue est ainsi un symptôme très répandu dans nos sociétés : plus de 75% des travailleurs déclarent ressentir de la fatigue au moins deux fois par semaine, durant leur journée de travail. C’est donc un symptôme très complexe : pourquoi ce ressenti de fatigue persiste-t-il ? Quelles sont les causes de cet état de fatigue ?

En général, la fatigue est proportionnelle aux efforts fournis. Eh oui : notre organisme fonctionne comme une batterie. Plus la journée passe, plus on réfléchit et plus on s’active, plus la fatigue va se manifester à mesure que notre énergie diminue.

Les journées à rallonge, les sessions de réflexion ou les déplacements contribuent fortement au niveau de fatigue.

Mais avez-vous remarqué que, dans certains cas, la fatigue se fait sentir alors même que vous n’êtes pas en pleine activité ? Voire même, alors que vous êtes au repos ?

Dès lors, est-ce que la fatigue n’est pas, un petit peu, dans la tête ?

Fatigue organique ou fatigue psychique ?

C’est là qu’il est important de distinguer deux types de fatigues :

  • La fatigue organique, qui concerne le corps humain
  • La fatigue psychique, qui concerne plutôt la volonté

Les deux types de fatigues ont en commun le fait de diminuer les capacités physiques, mais la première peut être facilement résolue, simplement en donnant au corps ce dont il a besoin, du sommeil.

Dans le second cas, la fatigue présentera des caractéristiques beaucoup plus complexes. Entre dépression et fatigue, la limite est même difficile à trouver.

Les cas de fatigue organique se manifestent souvent dans le cas d’un changement de saison ou d’un changement d’habitude, comme une nouvelle prise de fonction ou un nouveau rythme de travail.

La fatigue psychique peut elle aussi découler de ces changements, mais ce n’est pas systématique. Ces changements ont, en réalité, un impact aggravant plutôt qu’un rôle de cause directe.

Comment les différencier et savoir si la fatigue, c’est dans la tête ? Il y a des signes qui ne trompent pas. Par exemple :

  • Une envie de dormir qui ne s’accompagne d’aucune pensée négative, juste d’un épuisement musculaire
  • Des envies de sieste soudaines dans la journée, qui vous font vous sentir mieux si vous vous reposez entre 15 et 20 minutes
  • Un manque de motivation général, qui ne s’accompagne pas d’une baisse de confiance en soi

En définitive, la fatigue psychique va être associée à des pensées négatives. Si vous êtes fatigués sur votre canapé, et que vous pensez au fait que vous n’êtes pas heureux dans votre vie, alors cette dernière est sans doute dans votre tête.

Car si la fatigue organique se combat facilement, c’est la même chose pour la fatigue dépressive ou psychique.

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La fatigue dépressive, c’est dans la tête

Il existe un type de fatigue beaucoup plus grave, qui se passe uniquement dans la tête : la fatigue dépressive.

L’état moral, dans ce cas, impacte directement le corps et son énergie : les pensées négatives, la lassitude, l’ennui, pèsent sur l’état de santé du corps.

Une fatigue dépressive qui s’installe, peut rester très longtemps et les moyens de lutte s’amenuisent au fur et à mesure. Mais la bonne nouvelle, c’est que redoubler de volonté permet justement de lutter contre ce type de fatigue : tout est dans la tête !

Après tout, même dans un état grippal ou de fatigue intense, l’esprit peut prendre le pas sur le corps.

Vous avez donc la capacité à lutter contre la fatigue, quelle soit organique ou dépressive. Revenons un peu plus en détail dessus.

Lutter efficacement contre la fatigue

Le premier conseil peut sembler évident, mais il est important : il faut se reposer ! Reposer ses yeux, faire de petites siestes dans les périodes de grand rush, donner à votre corps les nutriments et l’énergie dont il a besoin sont des facteurs essentiels, d’autant plus dans les périodes d’inter-saison.

Il est recommandé de faire entre 15 et 20 minutes de sieste express lorsque vous avez des matinées difficiles, mais il n’est pas conseillé de s’endormir après 17h, sinon, votre corps sera en parfait décalage.

L’autre astuce, c’est tout simplement de vous activer. La fatigue a tendance à s’installer lorsque votre êtes inactif, ce qui incite à la réflexion et peut favoriser les pensées négatives. Même si c’est l’hiver et qu’il fait -30° dehors, sortez vous changer les idées ou vous aérer l’esprit. Cette expression n’aura jamais autant pris son sens.

Enfin, faites des choses qui vous plaisent, afin de rester dans un cercle positif permanent. Même lorsque vous n’avez pas le moral, cherchez à vous faire plaisir ou à passer du temps avec des personnes ayant un impact positif sur votre vie.

Vous avez désormais les armes nécessaires pour lutter contre la fatigue, quelle que soit sa forme !