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Apprenez de vos erreurs


Rien que le mot peut vous faire frissonner, de peur, bien sûr : « erreur ».

Connoté négativement, il n’est pas un mot que l’on aime entendre dans la bouche de son partenaire ou de son boss.

Pourquoi ? Parce qu’il est synonyme d’insatisfaction, et qu’il détermine la vision qu’ont les autres de nous.

Pourtant, une erreur n’est pas une mauvaise chose, bien au contraire !

Voici comment apprendre de vos erreurs en changeant votre perspective sur ces dernières.

1. Apprenez à distinguer les niveaux d’erreurs

La notion d’erreur est particulièrement relative : elle dépend de quelle perspective on se place.

Par exemple, une erreur vue par votre patron, votre petit ami ou par vous-même n’aura pas la même vision de l’erreur puisqu’elle dépend du contexte.

L’erreur est définie de manière objective (« chose fausse, élément inexact, par rapport à une norme établie ») et subjective (« état d’une personne qui se trompe et qui est jugée comme telle »).

Ainsi, l’erreur va surtout être prise en compte en fonction de l’importance de l’impact qu’elle a eue, de la chaîne des évènements qui en ont suivi.

Plus concrètement : oublier de noter un rendez-vous professionnel dans un agenda avec un collègue est une erreur, mais cette dernière se répare plutôt facilement.

Il suffit de programmer une nouvelle réunion et de s’excuser.

En revanche, cette même erreur de planification, avec un client de votre entreprise, peut avoir des conséquences plus importantes.

Là, il s’agit d’une « erreur professionnelle » pouvant être qualifiée de « grave ».

Dans les relations humaines, l’erreur est omniprésente : comment faire avec les envies de chacun ? C’est impossible.

Il faut donc prendre du recul sur la notion d’erreur, souvent associée à celle d’échec, qui est connotée très négativement.

Il existe donc plusieurs niveaux d’erreurs : parfois, ne pas réussir quelque chose peut vous donner la sensation d’avoir fait une erreur quelque part.

C’est votre esprit perfectionniste qui parle. Il faut savoir penser l’erreur autrement

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2. Transformez votre vision de l’échec

Les erreurs engendrent des émotions négatives et peuvent même provoquer une distorsion de votre réalité cognitive.

Qu’est-ce que cela signifie ? Qu’une erreur est synonyme d’angoisse : au travail, une erreur peut vous coûter de la crédibilité, votre réputation et même, votre job !

Pourtant, l’erreur est synonyme d’un autre mot : l’apprentissage.

Apprendre de ses erreurs, c’est apprendre à avancer dans la vie, petit à petit.

N’est-ce pas d’ailleurs ce que l’on apprend aux enfants ? Pourquoi stigmatiser en permanence l’erreur alors qu’elle est en fait facteur de progrès ?

En effet, plutôt que de se placer dans une perspective pessimiste sur l’erreur, en s’arrêtant seulement à l’instant T et en se verrouillant dans une logique négative, pourquoi ne pas voir l’erreur comme la première étape d’une progression constante ?

Il existe une amusante comparaison entre la Silicon Valley et le reste du monde : dans le dernier, trébucher et tomber plusieurs fois est vu comme un échec, alors que dans la Silicon Valley, si vous ne tombez pas (ne faites pas d’erreurs), c’est que vous ne progressez pas !

Avec cela, on se rend bien compte que la notion d’erreur est totalement subjective.

3. Les étapes pour comprendre ses erreurs

De manière assez évidente, une erreur ne peut se manifester que dans le cadre d’un rapport aux autres, d’un rapport au monde.

S’il y a erreur, c’est-à-dire jugement par rapport au résultat attendu (qui n’est pas ce qui était escompté), c’est qu’il y a autrui.

La première étape consiste donc à interroger votre entourage lorsqu’une erreur se profile.

Dans le milieu professionnel, cet entourage peut aussi bien être votre collègue de bureau que votre directeur.

Il s’agit de l’étape de « prise de conscience de l’erreur », et la discussion avec votre entourage mènera à l’étape suivante, celle de la « compréhension des erreurs », à toutes les échelles :

  • De l’entreprise, de l’environnement concerné
  • De vos relations avec les interlocuteurs concernés
  • De vous-même

Avant l’étape de la « réparation de l’erreur », qui consistera à rectifier le tir ou demander pardon à quelqu’un, il y aura celle de « l’évaluation de l’erreur » : énonciation du niveau de responsabilité, impacts imminents, conséquences…

Mais aussi les leçons apprises et l’envie d’aller de l’avant.

Il faut donc garder confiance en vous de façon inébranlable pour avancer.

Cette force intérieure vous permettra de surmonter les obstacles et de voir les erreurs comme une forme d’évolution permanente.

4. Savoir en tirer le meilleur

Adopter une posture optimiste et humaine par rapport à l’erreur vous apportera beaucoup plus que si vous la stigmatisez.

Se détacher de toute norme imposant la perfection et ne mettant l’erreur qu’au rang des choses à éviter est aussi la bonne chose à faire.

Le réflexe à avoir, c’est bien de relativiser, en vous disant :

  • Que vous ne pouvez pas tout savoir, même dans le milieu professionnel et avec 30 ans d’expérience : il y a toujours plus à apprendre
  • N’ayez pas honte de faire des erreurs : montrer un visage négatif ou stressé ne permettra pas d’avancer et au contraire, votre entourage vous stigmatisera
  • Préférer l’action à l’inaction, quoi qu’il arrive : dans le premier cas, on pourra seulement vous reprocher d’avoir de l’audace
  • Utilisez vos erreurs comme des outils de comparaison auprès de vos collègues et entourage : faites-en des forces et parlez-en comme d’une expérience enrichissante

Plus largement, apprenez à vous répéter à quel point les erreurs peuvent aussi avoir un rôle positif : l’accepter, la reconnaître, c’est le premier pas vers sa réparation.

Tout cela vous permettra de voir les choses avec beaucoup plus de philosophie.

N’ayez plus peur des défis ou des challenges, et soyez prêt à l’action sans avoir peur de l’erreur, qui fait partie intégrante de la vie humaine !