« Je ne pourrai jamais y arriver » : vous vous êtes peut-être déjà dit ça en débutant un marathon pour lequel vous ne vouliez pas vous engager, pour un travail qui ne vous passionne pas ou pour lequel vous n’arrivez pas à vous organiser…
Et cela est tout à fait normal, c’est une réaction humaine : face aux responsabilités, face à la peur de l’échec, on préfère parfois fuir ou se dérober.
Pourtant, le meilleur moyen de faire face à ses échecs, et de se relever face à eux, c’est bien d’assumer et d’aller de l’avant.
Voici les clés de la réussite !
On a tendance à croire, et à mauvais escient, que l’échec est une sorte de prédisposition génétique, que certaines personnes ne connaissent pas l’échec et qu’à l’inverse, d’autres y sont abonnées.
Pourtant, rater une présentation, perdre son travail, rompre avec quelqu’un : ce sont là des “échecs” que chacun peut être amené à connaître.
Et alors, c’est là que toute la différence se crée : d’une part, ceux qui s’apitoient sur leur sort, de l’autre, ceux qui choisissent de se relever.
Vivre des échecs, c’est au contraire ce qui va vous inspirer et vous faire avancer.
Comme le disait si bien Winston Churchill : “le succès, c’est d’aller d’échecs en échecs sans jamais perdre son enthousiasme”.
L’échec ne serait donc qu’éphémère, une simple étape vers l’accomplissement de soi ?
Ce même personnage faisait la distinction entre les pessimistes, ces derniers voyant l’échec dans chaque difficulté, et les optimistes, voyant plutôt une opportunité dans la difficulté : une opportunité de se dépasser, d’aller plus loin et d’apprendre.
L’échec permet d’en apprendre sur vous-même, et il permet de remettre en place quelques croyances sur votre vie, qui sont généralement fausses.
Par exemple, face à la perte de votre travail, voyez plutôt une opportunité pour repartir et vous réorienter. Perdre son travail n’est pas synonyme d’incompétence ou de manque de chance, c’est parfois conjoncturel.
Il ne faut donc pas voir l’échec comme étant de votre seule responsabilité.
Par conséquent, il est important de comprendre les mécanismes ayant mené à l’échec, et d’identifier les évènements en cascade tout en prenant du recul sur la notion d’échec.
Certaines personnes ont tendance à se voir comme des “aimants à échec”, mais en réalité, elles ne font que focaliser sur le négatif : enchaîner une matinée de bouchons, se faire une tache de café sur son costume, voir son rendez-vous client annulé, s’engueuler avec son conjoint, rentrer chez soi et subir des travaux extérieurs…
Il ne s’agit pas ici d’échec, mais bien simplement d’une mauvaise journée. Hello ! L’univers ne complote pas contre vous…
Alors certes, certains comportements pourront favoriser une situation d’échec, comme ne pas connaître les rudiments du marketing ou le manque de compétences pour gérer une société.
La bonne nouvelle, c’est que les choses s’apprennent, et l’échec s’apprivoise aussi, que ce soit dans votre vie personnelle ou privée.
Pour retrouver la confiance en vous nécessaire pour aller de l’avant face à des échecs plus ou moins importants, il faut rejoindre une communauté soudée de personnes qui ont connu l’expérience de l’échec.
Pourquoi ? Parce que ces personnes seront à même de vous guider, de vous ouvrir les yeux sur votre potentiel.
Nos programmes de coaching offrent cette possibilité, dans la lignée d’une nouvelle citation de Churchill : “agissez comme s’il était impossible d’échouer”.
Le plus dur avec un échec, c’est d’avoir la capacité de prise de recul nécessaire pour reprendre votre chemin.
C’est comme tomber après avoir couru un semi-marathon : c’est toujours plus difficile, car l’effort est plus conséquent. C’est la même chose lorsque vous venez de passer du temps sur un projet et que ce dernier n’est pas avalisé ou ne se concrétise pas…
D’autant plus que les visions de l’échec, selon votre lieu de résidence, peuvent varier énormément.
Tandis que dans la Silicon Valley, on prône l’échec comme un moyen de réussite, et que l’on incite à recommencer encore et encore, dans les pays francophones, l’échec est fustigé, vu comme quelque chose de négatif.
Cela l’est si vous aussi, vous le voyez comme quelque chose de négatif.
Pour vous remettre en selle, il est important d’agir (et de réagir) selon le triptyque suivant :
Les personnes qui se victimisent, du genre « personne ne m’aime », sont en situation d’échec permanent.
Avoir confiance en soi, être conscient que l’échec fait partie de la réussite, c’est déjà un grand pas en avant.
Découvrez le programme Momentum de Franck Nicolas. Dans ce programme, Franck va vous inviter à effectuer de petits changements quotidiens pour aller de l’avant et reprendre le contrôle de votre vie.
Ainsi, les clés pour se relever de vos échecs sont :
Vous l’aurez compris : réagir et se relever face à l’échec consiste à trouver de nouvelles manières d’aller de l’avant, des modes de faire qui vous correspondent et qui vous aideront à avancer. Pour cela, choisissez les bons interlocuteurs !
Si vous êtes amateur de philosophie, alors vous apprécierez de méditer sur cette maxime de Lao Tseu, qui rappelle que “l’échec est le fondement de la réussite”.
Et votre réussite à vous, c’est pour quand ?