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Quelles sont les bonnes questions à se poser ?


L’année 2019 est synonyme de nouvelles résolutions, de nouvelles décisions dans votre vie.

Mais il n’est pas toujours facile de trouver le bon équilibre, ni de savoir quelles questions mènent aux bonnes décisions.

Faut-il écouter son cœur ou sa tête ? Adopter une attitude raisonnable ou frivole ?

Quelles questions impactent le plus vos décisions ?

C’est pourquoi nous vous donnons quelques pistes pour faire les bons choix… Au plus profond de vous-même !

 

1. Définir ce qui vous tient à cœur.

Avant de connaître les questions à vous poser, il est important de définir quelles décisions seront importantes pour vous.

Il pourra aussi bien s’agir d’amitié, d’amour ou de choix professionnels, peu importe : les décisions impactent votre vie, à des échelles plus ou moins importantes.

 

Pour autant, se remettre en question en permanence peut vite devenir un cercle sans fin.

Il faut donc vous concentrer sur ce qui apporte un plus à votre vie, et vous poser des questions en relation uniquement si cela vaut le coup.

Par exemple, évitez de consacrer du temps de réflexion pour une relation d’amitié récente, où vous avez déjà été déçue.

A l’inverse, un proche ou une amitié de longue date doit retenir toute votre attention.

 

Par ailleurs, voici une bonne astuce pour savoir si la situation nécessite que vous vous posiez des questions : « est-ce que cette situation, aujourd’hui, aura un impact sur ma vie dans 5 mois ? Dans 5 ans ? Dans 50 ans ? ».

Si vous répondez « oui » à au moins l’une des trois réponses, alors, prenez le temps de réfléchir.

 

 

 

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2. Le processus de la bonne prise de décision.

Vous l’aurez compris : se poser les bonnes questions, pour prendre les bonnes décisions, c’est avant tout pour des choses qui vous tiennent à cœur.

Pour autant, il n’est pas difficile de se perdre en chemin, et de perdre de vue ses objectifs.

Pourquoi vous posez-vous des questions ?

Pour trouver des solutions à un problème !Et pour cela, mieux vaut respecter un certain processus décisionnel.

Il faut d’aborder déterminer la nature de votre question :

  • Est-ce qu’elle permet de m’interroger sur une situation ?
  • Est-ce qu’elle doit m’aider à trouver une solution ?
  • Est-ce qu’elle est purement rhétorique ?

Dans les trois cas, se poser la bonne question relève du parcours du combattant, car la question doit justement :

  • Être en rapport avec le contexte
  • Cibler le type de réponse attendu
  • Avoir un caractère réel et/ou réalisable

D’où l’intérêt de prendre votre temps, de décortiquer toutes vos questions et surtout, d’analyser toutes vos réponses spontanées.

Sachez faire la différence entre un raisonnement censé et une décision impulsive.

3. Se détacher de l’émotionnel.

Une prise de décision est souvent liée à une émotion, à l’affectif de manière générale.

Il s’agit du classique questionnement : « mais pourquoi cette personne agit de la sorte avec moi ? ».

Pourtant, c’est le plus grand piège des prises de décision !

On distingue généralement plusieurs types de questions (qui se posent à soi-même, également) :

  • Les questions relatives à votre qualité de vie : pourquoi je n’arrive jamais à rien ?
  • Les questions qui donnent (ou non) du leadership : quelles sont les solutions pour m’améliorer?
  • Les questions qui motivent et font avancer : qu’ai-je appris aujourd’hui?
  • Les questions émotionnelles : faut-il que je pardonne?

Vous remarquerez que les premières questions sont tout bonnement négatives et n’inspirent pas grand-chose. Elles empêchent d’avancer et au contraire, incitent à stagner et à faire du sur-place.

Même chose avec les questions émotionnelles, qui s’inscrivent dans le présent et non dans l’avenir.

les bonnes questions Franck Nicolas GLOB

Ainsi, reformuler ce type de question peut permettre de prendre les bonnes décisions par la suite. Comparez ici :

  • Pourquoi je n’arrive jamais à rien? C’est peut-être parce que je n’ai pas telle qualité ou telle compétence. Il faut que je m’en sorte.
  • Comment puis-je faire mieux ou réussir ? En faisant ça ou ça, ou en apprenant de nouvelles choses.

Ne trouvez-vous pas que la deuxième tournure, en posant la même question, mais différemment, incite plus à la prise d’initiative ?

C’est justement pour cette raison qu’il faut s’affranchir des considérations émotionnelles.

4. Entraînez votre cerveau à poser de (bonnes) questions

Voilà la dernière étape avant la mise en action : la prise de décision.E

Elle se joue parfois dans les secondes qui suivent une situation ou une question posée, parfois dans les jours qui suivent, parfois plusieurs semaines après.

Le plus important, pour prendre de bonnes décisions, c’est :

  • Être franc avec vous-même, réaliste, pour ne pas vous bercer d’illusions
  • Savoir quelles réponses correspondent à quelles questions
  • Connaître vos limites, vos lacunes et vos forces

Pour prendre de bonnes décisions, il faut en effet savoir comment vous fonctionnez.

Par exemple, si vous êtes de nature impulsive, il y a plus de chance pour que vous regrettiez de vous poser des questions sur la fidélité de votre partenaire, dans une soirée pleine de monde.

Mieux vaut donc agir (et penser) en fonction de votre caractère.

Enfin, entraînez votre cerveau à poser de bonnes questions, des questions qui orienteront votre action au quotidien, du type : est-ce que je suis sur la bonne voie ? Est-ce que j’agis de la bonne façon ?

Ce sont là des principes directeurs qui vous aident à garder le contrôle et le leadership sur votre vie, comme sur vos relations.

Ayez votre petit rituel chaque matin en vous demandant : suis-je heureux ?

Si oui, continuez d’avancer. Sinon, remédiez rapidement à cette situation, en agissant !

Alors, prêts à affronter 2019 (en voilà une bonne question) ?